Les sbires fantomatiques s’exclament De la présence de ces êtres. Le salpêtre suspend l’air Par sa célérité parfaite. Figée, l’atmosphère laiteuse Transcende les victimes incomprises. Le balai mécanique tire les cordes collectives Des impuissants de chaire. Les os charnels gesticulent dans la buée épaissit Cherchant un contrôle désespéré de leur esprit. Mais le radeau de la méduse, Dont les sbires s’amusent, Dodeline de manière confuse. Les derniers aventuriers ont perdu leurs âmes. Leurs dignités a coulées, ils ont obtenu leurs damnes.