Pâleur tu inondes la nuit endormie. Lueur tu allaites les vallées d'ombre. Sous ta froide voute je suis sous la pénombre, Le vent lancinent claque ma tente sans répit.
Ma tête à l'entrée bronze de rêves lunaires, Des étincelles blafardes sondent ma bohème. Sur les estives un temps, tu deviens mon totem. Étoile brûle, filante vie, je suis poussière.