La maison sent toujours la présence de ses hôtes. Les murs en écho ressassent les vieilles histoires oubliées.
Cheminée vers l’azur, Le ciel lâche ses nuages anthracites. Une paresse s’échappe Du bâtiment. Portes closes aux remords, La maison restera plantée là Encore longtemps, Pour qui la remarque. Habitée elle renait Aux lendemains incertains. Ses murs s’ouvrent Aux visiteurs coutumiers.