Un perfide silence réveille son ouïe Cet obscur bruit étrange sombre dans l'ennui La lointaine lueur d'espoir vite s'enfuit Tout autre regard à l'horizon s'évanouit
Son coeur repose son esprit épanoui Vide d'âmes et de vie que la mort détruit Nul souffle s'impose dans ce monde fortuit Le Styx fleuve vers un inconnu inouï
Chair et os très fine poussière d'étoiles Sa voix à des années lumière se voile Pour testament l'héritage de son respect
Rires chants pleurs amour haine ensevelis Ses images souvenirs sustentent l'oubli Sa fin sifflote sa liberté et sa paix