D’entre les Vénus, mon Aphrodite sacrée Fruit des divines beautés corporelles Epluchée de ta chair hâlée Cesserais-tu d’incarner ma désirée Belle ?
Je plonge dans les profondeurs de ton regard Pour fouiller les entrailles de ton âme Y sont incrustés les diamants rares J’aimerais te déclarer enfin ma flamme
Moi, parmi les Quasimodos, le saint Héphaïstos L’anti-phoebus de toute Esmeralda Ton coeur, épargné de cette flèche d’Eros A mon charme repoussant ne succombe pas.
L’amour demeure un tennis sérieux Jeu d’échanges merveilleux possibles qu’à deux Mon coeur, un volcan, crache pour toi tout son magma Son cratère grand ouvert jamais ne se refermera.