Mon coeur s’enivre de cette mélodie du printemps Que ma plume, avare de mots, gratte blanc sur blanc. Les poumons évidées de feue ma Muse Essoufflent mon inspiration, ma seule ruse. Mes vers se noient dans ma vierge page, Triangle des Bermudes de mon monde sensible. Toute ma poésie, privée d’encre, surnage Au bord de mes paupières en larmes lisibles.