Déni, mon ami, tu m’avais promis, Que je n’aurai jamais besoin d’amis, Que d’amour, je ne serait jamais sans répits, Que je serais fort, façe à la vie.
Déni, si on m’avait dit, Que tu serais toujours en moi, ici, Que ta prophétie, N’était que création d’ennemis.
Déni, je ne t’avais jamais vu, Tu m’a longtemps plut, Mais de toi, je ne veux plus, Déni, tu m’a trop déçut !
Déni, sans raisons, J’ai raté quelques saisons, Quelques instants, bon, Mais j’ai retrouvé la raison.