Vos
poèmes

Marcher, marcher ! monter ! marches après marches, je vais y

L’ascenseur parait difficile, voir impossible vu d’en bas !
De plus, on n’aperçoit pas le haut de cet escalier !
Alors pourquoi vouloir si intensément l’atteindre ?
Certains diront : « pour se rapprocher de Dieu » mais pour m
Je préfère l’idée de me rapprocher des étoiles, de l’univers
Se battre pour atteindre un non-objectif, peut être est ce c
Certains préfèreront mettre fin à leurs jours afin d’éviter
Moi, je préfère trainer ce lourd corps jusqu’en haut,
Car les vrais réponses sont les nombreux paliers de celle-ci

J’associerai l’enfance au rez-de-chaussée et au jardin d’enf
Nous entamons alors notre ascension,
Les premiers étages,
Y croisant de drôles de personnages, nous paraissant tous be
Ce sont les étages de la découverte et de la surprise !
Ils sont colorés, vivants, lumineux telle la lumière de la c
Les étages suivant sont plus ardus à gravir ! De plus, plusi
C’est l’adolescence.
Semée d’embuches et de pièges,
Et l’étape suivante sera le début de la vie d’adulte.
Avant d’y arriver, il faut tout de même enjamber les marches
Mais pour cela, encore faut il les détecter, savoir les repé
Plus d’un s’y sont perdus !
D’autres se sont rattrapés in-extremis au bord de la marche
Les paliers qu’on traverse à ces périodes sont parfois clair
A cet instant, seuls les lumières d’en bas font danser des c
Quand on s’en sort alors, on croit être à mis parcours de ce
On se sent alors plus léger, la pente des marches semble moi
C’est une période d’ascension heureuse tout de même. Parfois
Puis arrivent les noirs étages, ceux de la perte de nos être
Ces étages sont obscures, noirs tel le charbon ! Et on tâton
Ce qui nous fait avancer, c’est la petite lueur de haut de l
Mais après ces dures étapes, les lumières sont un peu plus b
Seule la vision du bas de l’escalier et des gens qui s’y tro
Même si nos jambes sont lourdes, la montée s’éclaircit. A qu
Puis on s’assied sur le toit de nos édifices, attendant la r
Pourquoi ne pas avoir prit l’ascenseur me dirait vous ?
Car l’intérêt de l’existence, c’est de gravir cet escalier,


Manu
05\09\06