J’observe ces gens en train de taper, Sur la paroi de verre du grand sablier, Emprisonnés, leurs cris même ne s’entendaient, De plus le sol se dérobait sous leurs pieds.
Leur inquiétude c’était la quantité, De sable qu’il restait, Avant la descente vers l’autre coté, Grain après grain, ils y arrivaient.
Une de ces personnes essayait, D’accélérer le processus, il creusait, Mais personne ne change la donne, la destinée, Le grand sablier n’a pas de pitié.