A Pierre de Ronsard De par tes derniers vers aux adieux au soleil tu semblais décharné, séparé du système sentiments de l'avent à l'éternel sommeil d'adieuser les présents que l'amitié parsème
Tu n'avais que les os sous le cuir temporel d'un spectre qui s'enfuit en détour de la terre fondre à la déchéance au miroir du mortel tout gagnant le haut lieu et faucheuse cochère
Mais apaisé parti, laissant pour héritage devoir tenter les Dieux et tenir le message composer le poème qu'inspire le décor
Courant l'exploration si musquée de tes odes du chemin de ta mort je situe les épodes d'où tes œuvres Ronsard font de toi un mentor
Gérard 'Artal' Hartalrich Prix d'honneur Académie Internationale École de la Loire