Si le fleuve s'élève à passer sur mon cœur en la belle saison, à celle des fleurettes les amours sur les flots confondant leur ardeur ont percé le silence au conduit des guinguettes
Un murmure à l'aisance, il se porte si doux ce que semble faiblir en l'écart désirable qui fait fort nous unir célébrant le redoux voir nos esprits dotés d'un appui délectable
Elle charme mes sens la dernière conquête au gré de l'aventure où son pouvoir décrète par les grâces de l'onde on se sent envoûté
L'entrain embrase l'âme et le rêve accordé tout se fonde à l'affect d'une houle discrète voir ma plate de Loire... appelée liberté