L'après-jour loin de vous fuyant ces temps chagrins après m'être éclipsé sur leurs routes cendreuses de mon esprit songeur, paysages lointains je peins vos fenaisons, nos aires plantureuses
Toi, symbole de paix au décor de ce fonds bel oiseau de saison, colombe solitaire console mon aimée, nos amours en tréfonds heureuse providence, efface mon calvaire
L'existence s'achève et ses graves tristesses dilatant mes pensées aux rides des promesses à vous devoir chérir en de sonores mots
Ô Dame payse âme, Ô bien tendre compagne en ma tête fiévreuse et le zèle qui stagne Il est temps ce présent d'éponger nos sanglots
Gérard ''Artal'' Hartalrich ( Cersay-Val en Vignes déc. 2019)