Sur ce domaine abstrus tel l’était ton esprit Lueurs pâles des cœurs qui formaient coterie En ces heures sombres d’indifférents éclats A ce jour tu reposes en cendre sur le tas
Je contemple le rêve et de mémoire itou Je revois ce passé, les fruits sur ces bambous La carotte aveuglante et le frêle roseau J’avançais à pas lent comme l’âne du plateau
La femme pensive clairement affleurée Chantonne en voletant du canton au pyrée Que le vent l’emporte la daronne à la mer Perpétuel printemps il se veut toujours fier
J’ai connu les jours noirs les ans se sont enfuis Le dernier s’abattra mon seul bien ce jourd’hui L’abri est livide le chêne ne geint plus Il l’a beaucoup aimé, le rouvre avait vécu.