Les bourgeons printaniers à l'entour des vitraux La douceur des parfums, l'empreinte qui captive Là un îlot ramé bien rond tel un anneau Court l'infinie verdeur sur la toile expansive Les bourgeons printaniers à l'entour des vitraux
En liesse du présent, toi ne cessant l'épreindre Il attend tout là-haut reste à voir la raison De la pierre taillée le huitième à dépeindre Est-ce la plénitude ou bien l'indiscrétion En liesse du présent toi ne cessant l'épreindre
Il n'est rien d'autre en vue au dévot de juger Sainte Foy prosternée devant l’être suprême Le pèlerin témoin du jugement dernier Réflexion religieuse en ce jour de baptême Il n'est rien d'autre en vue au dévot de juger
De marcher vers la conque à l'ombre de la source Sous les rideaux sacrés que bigle le curieux Compagnons du dessous au sort de la ressource En accueillant ces vers méditez faites vœux De marcher vers la conque à l'ombre de la source