Je n’ai plaisir aucun et déverse ma peine Qu’il vous plaise savoir, ce soir mon humble chant Blême au pied d’une croix, bien en manque de veine Ne soyez déplaisant me bannir mal créant
Sous les fourches Caudines je ne peux échapper Négligeant les refrains, mes longues demeurances Fuit la plume que tient, l’espoir de l’accorder L’ai vu se soulever récusant ses alliances
Les bûches de santal embraseront le sort Du profond crépuscule aux ombres influentes La plume musicale affranchie de son tort Soufflera ses accords aux rêveuses attentes
Elle reste amie fidèle opposée par périodes Je la vis à présent refusant le combat Mais vivre ces longs temps où déclinent les odes Je songe, je songe, rebroder le dégât.