Deux fillettes amies chargées d'ombre et de jeux Quand la dune cabrait en son temps de silence Dans la cité conçue aux attraits somptueux Deux des plus belles fleurs au clos de l'innocence
Se dénude à nos yeux en songe le support Du plateau lumineux coloré de ses gloires Confident du soleil la palette en renfort Le maître orientaliste abreuve nos mémoires
Un signal coutumier recensant le tableau A l'immortalité d'émerger les sublimes Au gré de leur couleur et douceur de la peau Les pigments tout puissants des aïeux légitimes
Le regard inspiré aux bienfaits de l'instant Deux voisines causant l'éloquence secrète Sur la toile sensible ont porté plein-d'allant Aux visions de Dinet et celles du poète Artal