Il est nuit sans étoile où traînent réflexions la lune désolée qui veille dans la brume de sa rotondité toutes les dissensions émanant de la terre au fil de l’amertume
Du front des apeurés la mort découle à flot des enfants dont le sang qui jaillit de l’arène ultime geignement dans ce monde en défaut nous crachant sa douleur l’outrage de la scène
Dans ma langue aux guerriers je demande faveur un traité exemplaire ivre de paix nouvelle mutation de l’histoire illustre la splendeur des biais du péril à l’entente si belle
Tous ces brûlants pays que la folie soutient devront taire l’orgueil étouffer l’incendie requête pour l’espoir trouvère il m’appartient demander à l’écho composer à la vie