Par le riche guéret qu’arrose une onde claire Sur un parcours sans fin je ne fais que flâner Tout goûtant le silence arpentant solitaire J’efface mes soucis veillant ne rien souiller
Considérant ces fonds, je rêve sous la brise Juste un zéphyr d’hiver froidement revenu Régénérant son rite et sa passive emprise Pareil au vent j’avance en mon pas soutenu
Se fleure le bien-être aux terrestres parages Qu’un lever du soleil dans son sensible effort Venu tiédir le clos des dames de laitages Et du premier rayon de réchauffer mon sort
Demain au petit jour qui conduira ma vie Comme de coutume sur les layons glaiseux Longeant la Rochefou ou autre artère choisie J’irai comblé allant, vers l’abri de ces lieux.