Le silence est passé dans son monde éternel En la triste journée au plateau des passions Tahran verse ses larmes et dégorge son fiel Le peuple se soulève et s’oblige aux actions
Éprise du meilleur en étoile équitable Puis surgir cœur brisé dans l’amère galaxie Victime auréolée, d’une main misérable L’homme dans sa faiblesse a occis une vie
Tu reposes à jamais sous le roc lapidaire Figée vers l’infini au côté du grand Maître Il t’a voulu ainsi , loyale missionnaire Pour servir l’idéal d’un traité à renaître
Son destin a marqué au fer rouge la terre Où l'inclémence impure de l'inhumanité A brandi le trépas en le feu de la guerre Tahrān pleure Neda, martyr de l'insensé.