Les citoyens froissés arpentent le métro ; . . . . Pathétiques monotrèmes, Ils rêvent d'un combat, et de guérilleros, . . . . – Mais ils crèvent d'emphysème.
En rentrant, les damnés allument leur micro . . . . Cherchent quelqu'un qui les aime... Des milliers de coeurs !... On devient vite accro. . . . . On craque pour une énième
Âme en bric et en broc : rendez-vous au bistro ! . . . . Attifés d'un diadème, Les aspirants s'épient en vidant une Kro ; . . . . On flaire comme un emblème,
Un interstice, un air de violon alto... . . . . Mais que cherche-t'on ? Soi-même. Dans la pléthore on trie : c'est un jeu de Loto . . . . Sur feuilles de chrysanthème.
Le premier dit à l'autr' : « Quels sont tes trois héros ? . . . . Ses yeux se plissent à peine. Et quand l'autre lui dit : « Je fais Sup Aero ! » . . . . Il se dit « Pas mon domaine... »
Quand même on se rappelle : à demi viscéraux, . . . . Ainsi sont nos théorèmes. Sous la pâle lueur à travers les vitraux, . . . . Mécaniquement, on sème...
Accrocs des corps à corps où le corps est en trop, . . . . – On se trompe de dilemme. Pas d'accord sans liqueur – qui a tort ? Les Eros, . . . . Fallacieux enthymèmes.