L’ascenseur de l’histoire a rattrapé l’hiloire Qui de ses flots de rage pourfendaient nos adages, Croyant trouver la gloire, à l’us d’un bon drayoir, Pour des jeux d’un autre âge où n’est pas le partage.
Nanti d’oligarchie, aux rêves d’anarchie, Se prenant pour Des Bois d’un futur qui emboit, Au point d’avoir franchi, de prêcha en prêchi La lisière du bois d’un état aux abois.
Caché sous le litham des combats de l’Islam, Faisant de la misère un bras de ses chimères, Il a vendu son âme au théâtre du drame.
Ô triste destinée de ces peuples mal nés, Qui de tous temps espèrent en folies meurtrières Echapper aux années d’un passé décharné ;