Jusqu’à ce que la paix ne soit plus un oiseau, Jusqu’à ce que les hommes aient sortis leurs couteaux, Les nuages du ciel défilent au firmament, N’ayant que de l’amour en éternel amant.
Jusqu’à ce que l’envie colore leurs envies, Voilant de leurs draps sales le soleil de la vie, Eteignant une à une les lueurs des lucioles Pour faire à nos destins chanter la carmagnole.
Au prétexte d’un dieu, d’un diable ou des idées, Aux couleurs de mille ans de rêves et de bonheur Ils font barrer de croix, nos mots de liberté.
Ils font marcher au pas nos routes et nos voix, Les pavant de rancœur, de haine et de fureur, Leur donnant des moutons à tondre de bonne foi ;
Répétant de l’histoire : « il était une fois ! » Septembre 2009