Dans le désert de tes yeux verts, je n’ai rien vu, Dans le désir de tes sourires, j’ai vu le pire Et tes mots qui dessinent, l’envers de tes soupirs Me perdent dans le vague de ton monde inconnu.
Je cherche ton chemin, de ta tête à tes seins Essayant de voir clair dans toutes tes prières Où chacun des cantiques, en manque de matière, S’égrènent tous pareils en un même refrain
Au gré de tes envies, j’erre au flou de ta vie N’ayant rien que ton corps en unique décor Et plus aucun crédit pour toucher ton esprit.
En donnant à mon cœur un ton de prédateur Tu m’éloignes de toi malgré tous tes encore Me donnant les pétales, quand je voudrais la fleur !