Les larmes de mon cœur me poussent à l’ankylose De tout ce que je fus, de ma métamorphose, Je suis maintenant seul, à n’attendre plus rien, Personne n'étant là à me lacer de liens.
En n’ayant plus tes yeux au fond de mes pupilles J’ai éteint les lueurs qui éclairaient mes silles Et en perdant ta bouche à jamais, désormais, C’est aussi le plaisir que du coup je fermais.
Même mes mains sans toi tremblent de ton absence Et mes pieds sans les tiens perdant leur assurance Errent sans direction en quête de tes pas.
Ma vie n’avait d’envie qu’aux désirs de tes draps ; N’ayant plus de chaleur à vivre là sans toi, Je n’attendrai plus rien, même d’un autre toit !