Vieillesse qui sera là au bout du chemin Qu’un vieux morceau de bois, sans sève et sans saveur, A savoir qu’elle n’aura, plus de ces lendemains, Où dessous ses ramées, apparaissaient les fleurs.
Agonie de la vie où s’éteint peu à peu Les girandoles bleues de la prépondérance, Ne laissant à la place, en brasillement de feu Que des larmes de fiel aux fragrances de rance.
Echéance inhérente, cachée au fond du bois, Qui de la peur du loup, comme un petit enfant, Epouvante tes nuits de ce que tu prévois.
Malle à ressouvenances, pleine de nostalgie Te rappelant les sons que de ton olifant Tu savais de tes jours faire l’apologie.