Je cherche le chemin qui conduit au bonheur, Mais c’est toujours demain, qu’on m’en promet ses heures ; On m’a dit qu’il dormait dans les jolies maisons, Mais qu’il y enfermait, vos jours et vos saisons.
J’ai cru l’apercevoir au détour d’un sarong, Mais il a mis mes soirs aux flots de l’Achéron ; J’ai pensé le trouver, aux rages des ouvrages, Mais il m’a bien prouvé que l’or cause la rage !
Je l’ai un jour croisé à l’orée d’un grand bois, Mais il m’a emboisé aux sons de ses hautbois, Me faisant voir l’automne quand je rêvais d’été.
J’ai senti sa personne errer tout à côté, Mais l’herbe était plus verte au-delà de mon pré Et depuis je disserte comme de Rubempré,