Le monde du poème a peur de nos je t’aime, Des causes et leur because, il n’a jamais le : « j’ose ! » Et ce n’est que sur pause, ou s'’entretient sa gnose, Qu’il jette l’anathème à ceux loin de son chrême.
Ceux se disant poètes se pensent très honnêtes, En racontant les fleurs et le temps du bonheur En mettant de l’ardeur qu’aux histoires de soeurs Et à vivre la fête, au temps que l'’on corsète.
Et c’est là, de leur doigt qu’ils disent ce qu’on doit, Regroupés dans des clans aux sons du rataplan, Marchant au pas de l’oie, certains d'’avoir la voie !
Pour moi, la poésie doit friser l’hérésie, Etre le noeud coulant de tous ces cerfs-volants, Le jeu, la fantaisie, pas cette parésie !