Mon ciel se rétrécit aux lueurs des étoiles Et son immensité, enfermée en cité, Finit par se draper dans des morceaux de voile, Réduisant peu à peu de son intensité.
En y dressant des cartes, aux peurs de se tromper, L’autre devenu moi, me fait prendre des routes, Que mon simple respect et mon besoin de paix, M’empêchent justement de traiter de déroute !
Brillant d’un même feu, les astres au firmament Deviennent peu à peu l’ultime référence, Eclipsant là d’un coup mes propres sentiments.
Et si nos libertés, de trop d’égalité, Souffrent dès aujourd’hui, de bien trop de carences, Je le conçois pourtant, pour la fraternité,
