A ne plus rien comprendre, A se laisser surprendre Par cette mer de mots Qui vous ouvre ses flots, Ces écrans de vomi En trop plein de délits, Ces images cauchemar De nuits et de brouillard.
A ne voir dans le ciel, Que de l’artificiel, Que de l’indifférence, Quand ce n’est de l’absence.
A regretter le temps Ou le souffle du vent, De son bruissement d’air Collait à votre chair Des ondes de douceur En nimbes de bonheur, Vous laissant là ému, En voile d’ingénu !