Parmi la mort et la souffrance Qui volent au-dessus des nuages Et qu’on évite à nos images, Aux ombres de la tolérance ; Parmi l’écœurant porte à faux Et la faiblesse des brandons Des advertances sans pardon, Qui font tourner la grande faux ; Parmi les vagues et les orages Qui s’invitent dans nos jardins Et qu’on ne juge qu'anodins, Aux lâches tains de nos vitrages, Je regarde vers la sortie Où pâlit déjà le soleil, Je vois les fleurs et leurs merveilles Se couvrir peu à peu d’orties…