De la vie qui se rie aux défilés des heures T’apportant ses amas de joies et d’embarras, Je croque sans remord tous les points de senteurs, A me trouver serein, le jour du grand trépas.
Je plane et m’abandonne aux mains de mon destin, Jetant là aux orties tous mes petits soucis A trouver le plaisir tout au long du chemin, Quand d’autres se complaisent aux nuages obscurcis
Mes vers à moitié pleins, à l’autosuggestion Ont mis mon inconscient au temps du positif, Lançant du : « je vais bien » jusqu’à l’aliénation ;
Et ôtant de ma vue les effets nocébo, J’ai fait de mon mental, l’élément constructif Me faisant voir la vie « recto sans le verso ! »