Je sortais au coin de la rue du Louvre à Paris, Alors que les nuages déposaient sur la ville des hémisphères enfantins, Lorsque je vous ai vu, ma chère Thérèse, avec vos airs éblouis,
Des joujoux à la main, et des bijoux sur vos cheveux châtains. Le ciel est donc teinté de vos beautés sublimes, Vos joues rosâtres font jaillir dans nos abîmes,
Des sonorités pleines de charmes et de suavités. Vos yeux sont des océans amers qui surpassent les divinités, Vous m'emportez ma charmante Thérèse sur des vagues nouvelles,
Et là dans vos paupières où brillent des étoiles éternelles, Je contemple dans le silence de mes nuits, le soleil du jour Dans un fleuve rempli de lumière et d'amour !