Les jardins circulaires Dans le rêve, dans mes cauchemars, Coulent et découlent les pleurs de ta peur ; Et moi aussi j’ai peur, Peur de ton sang qui s’affole Dans la noirceur de ta Peine ; Et la plaine de ton cœur Qui s’emplit de mes peurs Et se noie sous ma peine Est pleine de ton rire qui saigne De mes veines qui cèdent Et qui ne crient plus à l’aide.