Le grain de ta peau s'écoule lentement dans le sablier du Temps Vestiges d'une autre vie, quels mauvais rêves t'ont Anéanti ? Juste un pas vers toi, et tu crois déjà que je te tourne Autour, Que je te fais la cour ! Je t'envisage. Tu me plais, c'est évident !
Du bout du cœur, tu seras explorateur de mes frémissements Vertige du désir, et boire à ce calice jusqu'à en faire son Délice Mon âme chavire et chancelle, pourtant ce n'est pas un Caprice Comme deux aimants, le pouvoir d'attraction est trop Puissant.
Tu m'inspires, je te respire, révèle en moi des envies Irraisonnées ! Perdre les pédales ; le phénix ne renaît-il pas de ses Cendres ? Farouche plaisir des sens, tu es mon combustible, mon Essence. Caresser l'illusion, caresser l'espoir. Réveille-toi, que Je te touche.