Regarde-toi, pauvre hère Comment tu traînes à terre Cachée dans la pénombre Ta personnalité bien sombre Faire l’éloge de ta faiblesse Serait pour moi une prouesse
Lavette gisante crépusculaire Ta couardise si spectaculaire Te fige serpillière de l’ombre Lâchetés, fuites sans nombre Ta petitesse vaut tes bassesses Tu as agi avec tant d’impolitesse