Les amours évanescentes s'en sont allées. Parties à la sempiternelle recherche de leur pâle reflet. Ô mon doux miroir aux alouettes, dis-moi Ce que je ne suis pas. Capture-moi dans la torpeur floue des certitudes. Contiens-moi afin que je reste à jamais avec toi Sur l'autre versant de mon irréalité.