Vos
poèmes

Belle contraste de jour
Te voici grande et sournoise.
L’anxiété règne aux détours
Des lieux où l’être se croise.

Vieux fléau d’obscurité,
Influençant l’impunité.
Dès ta venue tout s’assombrit.
Est-ce donc cela la nuit ?

Face longuement exploitée,
Le mal s’avère bien occulté.
Sournoisement il agit,
Dénué de vergogne il sévit.

Sans pitié la nuit s’unit au mal,
Se déclare alors un règne animal.
Le loup assoiffé, la prostitué,
Et d’autres marginaux de l’obscurité.

Le tout défile sans peur et sans reproche !
Après le jour un autre monde approche.