Contre le mur je plaque ma joue… Véritable fournaise, je boue ! Etat plus déplorable que l’enfer Ma condition relève du calvaire
Dois-je sombrer dans la périclité Ou acquérir la sérénité ? Me fracasser le crâne contre le mur Ou penser à dehors, à la douce nature ?
Pour l’instant me voici seul, inerte Vais-je revoir un jour l’herbe verte… Les notes qui englobent le monde, le chant Perpétuel de la vie qui contraste avec le néant.