Je ne sens plus le vent sur moi, cette tempête Qui tout à l’heure ne me faisait aucun quartier. Il fut un temps, tout était joie, tout était fête… Et maintenant j’ai peur qu’elle revienne encor !
En spirale elle aspire ma lucidité, Quand vous, tous mes desseins, êtes inachevés… Serait-ce une utopie de vous rendre couleur ? Penser à vos pastels me réchauffe le cœur.
Ne reviens plus, je te bannis ! Mais quoi …il faut attendre ? …Tu gardes ma raison ? Que je perde toute notion ? Avant, regarde-moi : je vie…je suis en vie !