Sentirais-je ton parfum près de ce lac ? Oserais-je avancer pour te cueillir ? Le grand soleil t’arrose et te désire. Même la pure rosée du matin te laque, Suivie de l’arc-en-ciel et toutes ses couleurs… La pluie t’évitera, le vent aussi. Personne ne viendra t’arracher le cœur. Les dieux te garderont comme leur fille… Tandis que nul n'osera approcher. Ton beau parfum, je vais seul le puiser…