Mon cœur regorge de ruelles sans issues Où vit ma profonde tristesse mise à nu. Le plaisir pléthorique s’éteint dans ma chair ; La métamorphose du bonheur en calvaire.
Mon âme conjugue les maux à l’infini, Il règne l’impression d’un être fini. La joie n’existe qu’à la lecture des romans… Voilà pourquoi je m'y réfugie constamment