La mort empêche toute activité, D’un repos brutal…et pas de quartier ! Ce fléau m'accable sans discontinuer. Mes douces pensées recherchent l’intérêt, Le supplice d’une vie loué à l’arrêt. Une existence sans ne jamais être prêt !
Qu’importe le lieu, pénible est l’instant, Qu’importe l’instant, il s’avère sournois.
La pensée d’un gouffre brise le présent. Pénible sensation d’un néant adroit, Manipulant impunément le glas ! Omniprésent, il guète le futur trépas… Chaque faux pas s’avère la chère occasion. Servilement l’humain se plie à la raison…