La profondeur des falaises lui fait peur, Sensation d’un bord de mer, de hauteur, D’une fuite dans l’infini des océans… Redouter le côté du Dieu levant.
Entouré de pierres tombales à ses pieds, S’imaginant à leurs côtés, Du vent et des oiseaux pour compagnie, Inlassable calme de minuit à midi !
Terminer sa vie sur un bord de mer, Couché, le regard levé vers le ciel. Toutes ces images, ces «flashs» le rendent amer, Comme du déjà vu, des cris qui appellent.
Son corps se pétrifie, ses yeux se fixent ; Ne sachant se mouvoir, le calme l’englobe. Fini le désespoir, les rixes… Le lierre déjà s’en empare et l’enrobe.