De multiples facettes ornèrent sa personne : Puissant banquier ou bien mécène toutes formes, Un charisme qui fut un exemple en son temps. Quand l’époque troublée par l'emprise de l'argent Plaça le Médicis en haut du piédestal, Il reprit le flambeau d'une famille royale Amassant sur son trône fortune colossale…
Génie de talent, de cœur plus que d'affaires, D’autre fut grand poète, sous ses airs austères : Amoureux de beauté, de lettres et de femmes Celui-ci à son heure triompha des dames, Quoique se trouvant laid, visage asymétrique, Le voilà déployant un charme aux traits magiques...
Vasari, qui peignit la grâce d’un beau prince, Subit l’enchantement comme s’il fût d’un sphinx ; Faiblesse inavouée et commune aux artistes ? … (Mais laissons la vipère user de cette piste !) Une goutte de trop fit déborder son âme Lors et tel ses aïeux, il n'échappa au drame Et le sang circulant acide dans ses veines, En rougit la légende qui devint la sienne.