Le trépas tergiverse, la mort attend ! Le sommeil le gagne, il n’ose l’accueillir Couché, vaincu, il redoute le néant. (A l’aube de la vie, la fauche va agir.)
Pis ! l’instant semble intangible à ses yeux ! Son sourire l’apaise or les maux le rongent. Une pensée évoque un passé radieux… Son existence au beau milieu d’un songe !
Une jeunesse à la recherche du bonheur, De pures années sans courroux ni malin… La mort s’immisça, semant la frayeur… Son caprice, anéantir les desseins !
Une mission à la recherche du malheur, Psalmodiant le glas en « cher mélomane ». Annihiler l’espoir d’une lueur, Infligeant le désespoir à toute âme.
Serein, il entrouvre les yeux… elle approche. La constance du sourire démantèle ses us. Personne ne sourit lorsque la mort est proche… Il s’abandonne en position fœtus.