À l'aube en me levant, étant bien incertain ; Je tombe par hasard sur ta photo d'antan, Je me souviens alors de ce que nous vécûmes En cette longue nuit, cette nuit de folie.
J'arrivais en retard, n'ayant rien à t'offrir, Je me sentais coupable arrivant les mains vides, Ne connaissant personne, j'avançai dans la foule ; En cette longue nuit, cette nuit de folie.
Alors qu'enfin je t'aperçus, Si belle parmi l'assemblée, Ta robe était resplendissante, En cette longue nuit, cette nuit de folie.
Là je t'invitai à danser, Nous commencions cette valse, Sous cette musique endiablée, En cette longue nuit, cette nuit de folie.
Je t'entraînai soudain, à l'écart et dans l'ombre, Je me laissai aller, ivre dans la passion, En proie au merveilleux sentiment qu'est l'amour En cette ongue nuit, cette nuit de folie.
Je me souviens alors de ce que nous vécûmes, En cette longue nuit, cette nuit de folie, À l'aube en me levant, étant bien incertain ; Quand par hasard je trouve ta photo d'antan.