La peau sèche et les genoux blancs J traîne le corps d’un enfant Le sol ne me supporte plus Je sombre au fond de cette rue Nommée rue verlaine Où mon cœur se brise comme de la porcelaine Obscurantisme exacerbée d’une triste existence de dénie Qui ne cesse de se faire blamer Bleu à l’âme, il erre sans envie Ne sait plus rien faire d’autre que d’aimer L’unique objet légitime Comme un hylne A sa destinée A son aimée Il s’ouvre les veines Pour éviter les peines Désarmé devant la triste réalité Celle qui l’emporte dans une terrible mélancolie Au delà de tout espoir il est anéanti Par cette vie rêvée Mais qui ne reste qu’un rêve Il n’attend plus que cette trêve Qui s’est transformée en l’espoir de sa vie Il heurte la vie Pour elle Pour qu’elle soit belle Un cri du cœur plus qu’un cri du corps lors de ces nuits Où nous mettons à bas toutes nos restrictions Elle a cette force des jeunes femmes qui m’enivre lors de ce L ‘homme comme moi subit les malédictions Ne jamais savoir aimer plus de trois mois Moi pour elle Elle pour moi J’en ai foi Jusqu’au bout Je resisterais à ce trou Je pourrais tout te dire avec mes gestes Je pourrais tout te faire sentir Je ne veux plus vivre pour souffrir Je ne veux que toi Le soleil se joint à moi Pour me montrer que tu es là Bien plus encore qu’un simple relation A deux doigts A deux mains A deux cœurs A deux corps A deux amours A notre amour Je crie Je ris Je vis Je respire Je réfléchis Je t’aime Je t’aime Je t’aime Et je t’aime comme je n’ai jamais aimé Comme je n’aimerais jamais plus Comme je ne peux aimer quelqu’un d’autre