Éternelle inertie, jour désastreux Que l’on masque dans l’apparence des heureux L’espérance d’un futur heureux Résistons à l’existence des dieux Qui nous appelle vers eux Faites que je ne tombe jamais dans ce creux Ô ciel que tu es beau vu de là-bas Ô Dieu que tu es grand vu d’en bas Et moi, moi je suis là, debout Au bord de ce gouffre, à deux pas du trou, Il n’y a plus d’espoir, plus d’envie Tout est vain, la vie (en) est fini