Grand Homme…… au petit cœur dévasté
J’arrive le cœur en avant et l’air de savoir,
Je vois aisément que ta vie amoureuse foire,
Le cœur écorché et la gueule des mauvais jours,
Tu me relates une histoire dont tu ne feras jamais le tour,
L’alcool débordant le vers de tes pensées,
L’Œil inondé, tu me fais pitiés.
Dans ces moments d’oublies, je suis fier de toi,
Même si je n’ai pas le droit d’élever la voix,
Je dépose et t’impose ces durs mots sur cette douce feuille,
Cependant, je ne veux pas que tu m’en veuilles.
Théophile tu te noies dans l’illusion,
L’amour n’est plus ce que tu pensais au bout du sillon,
Atterris mon ami, les gens sont vivants,
L’amour romantique est mort, tu es vivant.
Ne te laisses pas aller à cette douce mélancolie,
Celle qui envoûte mon cœur et mon esprits,
Laisse toi aller le long de ton innocence,
Reprends ta vie en main et oublies ton enfance,
Cette époque qui fragilise tous les hommes,
Et pourtant, l’enfance nourrit tant d’homme.
Comment te dire que tu es mon ami,
Tu sais un de ces tristes ami pour la vie,
Je resterai accroché à toi jusqu’à la mort,
Mais je partirai un jour en glissant sur le bord,
Sur le bord de son cœur, celui qui me tu.
La femme que j’aime, celle avec qui j’ai toujours voulu
être indécent.
Aurore d’une vie, prémices d’une idylle,
Tu es sûrement à l’aube d’une nouvelle « ville »,
Apprivoises-là et laisse-là t’apprivoiser,
Endors ces peurs et fais lui des baisers.
Que ces questions idiotes s’évaporent,
Que ces nuits de pleures s’envolent,
Dis-moi que tu veux être heureux?
Roméo et Juliette n’était pas qu’un curieux
Innocent,
Libères tes angoisses et appuies-toi sur moi,
Tu sais pertinemment que chez moi l’amour est Roi,
Je ne peux te dire qui en fixera les lois
Mais aujourd’hui, il se met au service de ta croix.