Je me suis baladé le long de ton corps, Pensant que tu aimais ce regard d’or, Rêvant que mes yeux te rendent amoureuse, Ne sachant voir ton malheur, tristesse
Du jour au lendemain, quand l'absence te fait terreur Comme un lâche ne pouvant protéger tes ultimes peurs, Tu étais là, tu attendais que je le prenne ce chemin, Tu espérais, souffrais en silence que j’aille très loin,
Et d’un mot, j’ai effacé ce sentier battu De ma mémoire, d'un pas je t'ai vaincu.